Trouver un financement pour son projet : le prêt bancaire

Après l’étude de marché, la seconde étape pour mettre en place un projet est bien entendu de trouver une source de financement. Il existe différentes solutions, dont le prêt bancaire. Il faut pour cela constituer un dossier avec un business plan en béton pour susciter l’intérêt de la banque. En effet, les banquiers gardent une certaine marge de prudence,dont il faut tenir compte. Par ailleurs, il ne faut pas oublier qu’un apport personnel entre 15 et 20 % est toujours demandé.

 

Sommaire

Le point sur le prêt bancaire

 

On dit souvent que le banquier est la personne qui est là quand il fait beau, et aux abonnés absents quand il pleut. En vérité, les banques, comme mentionnées plus tôt, restent toujours prudentes avant d’octroyer un crédit à un entrepreneur en quête de financement. Pour obtenir les faveurs de la banque, on doit donc monter un bon dossier, en démontrant que le business a de fortes chances de fonctionner. Les demandes de crédit passent ensuite en comité de crédit, quel que soit le montant demandé. Ce qu’il faut savoir c’est que le business plan doit être crédible.

 

Le prêt d’honneur, la solution idéale de financement

 

Les prêts bancaires sont nombreux. Mais celui qui est de loin le plus intéressant est le prêt d’honneur. Il s’agit d’une formule sans intérêt et sans garanties obligatoires. Le remboursement peut s’étaler jusqu’à 5 ans. En réalité, le banquier se veut être assuré, car il s’agit de faire jouer l’honneur et la parole de l’emprunteur. En général, les montants accordés sont en dessous de 10000 euros. Pour un business sur le point d’être lancé, c’est amplement suffisant. Dans le cas de projets innovants, la banque peut consentir à avancer un montant plus conséquent, allant parfois jusqu’à 90000 €. Une fois de plus, tout dépend de la nature du projet et des chances qu’il aboutisse.

 

Demander conseil auprès des Chambres de Commerce et d’Industrie ou CCI

 

Une autre solution pour trouver un financement à un projet est de passer par les Chambres de Commerce et d’Industrie. Ces dernières sont plus à même de conseiller les nouveaux entrepreneurs en quête de financeurs potentiels ou susceptibles d’être intéressés par l’investissement.